Le Club des cinq et le trésor de l’île de Béja et Nataël.
Hachette comics, février 2020, 64 pages, 8,95 €, ISBN 978-2-01704-482-6.
Genres : bande dessinée française, aventure.
Béja naît en 1961 à Toulouse. Il est illustrateur depuis l’enfance ! Il illustre Bécassine. Il travaille avec son père, Nataël (par exemple sur Les griffes du hasard ou sur Frantic).
Nataël étudie la sociologie de l’art et devient scénariste et metteur en scène pour le théâtre.
Enid Blyton naît le 11 août 1897 à East Dulwich (Londres). Elle est une célèbre autrice anglaise de littérature jeunesse même si elle est, un temps, décriée. Elle meurt le 28 novembre 1968 à Hampstead (Londres).
Mick, François et Annie viennent d’être déposés par leurs parents à Kernach, à la Villa des mouettes, chez leur tante Cécile et leur cousine Claudine, pour les vacances. Claudine n’est pas ravie, elle ne les a vus qu’une seule fois, elle préfère se promener sur la plage avec son chien, Dagobert (surnommé Dago), et puis, comme elle est garçon manqué, elle veut qu’on l’appelle Claude ! « Claudine ! Il n’en est pas question ! Tu vas me faire le plaisir d’accueillir enfin tes cousins et de leur faire les honneurs de Kernach. » (Henri, son père, p. 9).
Avec Jean-Claude, l’ami de Claude , ils vont visiter l’île de Kernach et l’Ayacotl, le galion échoué d’Alban IV de Kernach, l’aïeul dépossédé par la Révolution. Il y a peut-être un trésor ? « À l’abordage ! » (p. 14). Mais Henri veut vendre l’île et le galion à monsieur Peïratês (ça fait un peu pirate, vous ne trouvez pas ?), un antiquaire qui en fait veut s’accaparer avec son complice du trésor de l’île.
Lorsque j’étais enfant, j’ai dévoré Oui-Oui, Jojo Lapin et le Club des cinq dans la Bibliothèque rose. Avant de passer à la bibliothèque verte puis évidemment à d’autres lectures. C’est donc par curiosité que j’ai lu cette bande dessinée adaptée de l’univers du Club des cinq et donc d’Enid Blyton.
Les dessins sont clairement de la ligne claire. Ça crée un peu de nostalgie. Mais l’histoire est classique. On apprend deux ou trois choses sur les « haricoteurs » et sur la signification de « ayacotl » (haricot lingot en huastèque). Mais ça reste de l’aventure bon enfant pour la jeunesse.
Pour La BD de la semaine et les challenges Animaux du monde (pour Dagobert), BD et Jeunesse Young Adult #9.
Pourquoi pas ! Je testerai bien.
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Oui, par curiosité, comme moi, mais tu verras : c’est vraiment ciblé jeunesse 😉
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J’ai aussi lu ces aventures enfant, mais j’avoue que vu d’ici, ça me paraît un peu léger.
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Tout à fait, c’est basique (rencontre, aventure, danger, dénouement, happy end) et léger 😉
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J’ai beaucoup lu Le Club des cinq enfant mais l’adaptation BD ne me tente pas du tout je dois dire… Pas fan de ce graphisme bien trop lisse à mon goût…!
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C’était surtout par curiosité et parce que cette aventure était gratuite dans les numéros 1 et 2 de Robinson 😉
D’ailleurs il faut que je lise les numéros 3 et 4 avant que le 5e n’arrive (vendredi).
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Pas sûre d’être tentée, je n’ai jamais lu Le Club des Cinq…
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Ni Oui-Oui ni Jojo Lapin ?
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Ah, Le Club des cinq, toute mon enfance !
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Bah, oui, la Bibliothèque rose, la Bibliothèque verte, etc. 😉
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oui !!! 😄
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Hi hi, des souvenirs de lectures… 😉
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Exactement ! Ça fait plaisir !
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🙂
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Toute mon enfance!
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Je ne suis donc pas la seule 😉 Mais je préférais Oui-Oui et Jojo Lapin 😉
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Qu’est-ce que j’adorais lire les romans… Je ne lirais pas la BD mais je trouve que c’est une bonne idée d’en avoir fait l’adaptation.
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Moi aussi, j’ai dévoré les livres des Bibliothèques rose et verte lorsque j’étais enfant 😉
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Bien envie de retomber en enfance !
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Ah, ah, par curiosité, c’est sympa 😉
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une série qui fonctionne bien dans la bib où je travaille.
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Les enfants lisent toujours les classiques (Enid Blyton, la Comtesse de Ségur, etc.), ça m’épate 😉
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Je ne savais pas que ces classiques de la littérature jeunesse avaient été adaptés… Mais cela ne me tente pas plus que ça, désolée !
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Oh, ça ne me tentait pas non plus, je l’ai lue parce qu’elle était gratuite dans les numéros 1 et 2 de Robinson, et par curiosité 😉
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Le club des 5 en bd ! Je me souviens avoir lu quelques bouquins étant petite. Ça me ferait plaisir de retrouver la bande.
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Alors tu peux télécharger les numéros 1 et 2 de Robinson (le lien est sur mon blog, tu cherches Robinson dans En coup de vent…).
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ça me tente bien 🙂
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C’est sympa, basique mais sympa, tu peux lire cette BD librement dans les numéros 1 et 2 de Robinson (tu trouveras le lien vers Robinson dans les billets En coup de vent…).
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Pas plus tentée que ça, même si « Le club des cinq » fait partie de mes très bons souvenirs d’enfance ! J’en ai vécu des aventures avec cette bande… J’ai feuilleté récemment les nouvelles versions, une horreur !! Simplifié à l’extrême, ça en devient ridicule.
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Ah oui, j’avais lu un article à ce sujet… Terrible… et indécent !
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J’ai aimé les romans, gamine. Mais je crois que j’ai passé l’âge désormais 🙂
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Je pense que moi aussi 😉
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Les romans ont toujours autant de succès à la médiathèque, je note la BD donc.
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Ah, les classiques jeunesse…
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