R.U.R. de Karel Čapek.
Rossumovi univerzální roboti sous-titré en anglais Rossum’s Universal Robots (1920) est traduit du tchécoslovaque par Hanuš Jelínek (1878-1944).
Genres : littérature tchécoslovaque, théâtre, science-fiction.
Karel Čapek naît le 9 janvier 1890 à Malé Svatoňovice en Bohème. Il étudie à Brno puis à Berlin (philosophie) et Paris (Lettres). Il est francophile (il traduit Apollinaire et Molière), amateur de musique ethnique et de photographie. Il meurt le 25 décembre 1938 à Prague. Du même auteur : La mort d’Archimède et L’empreinte.
Le prologue se déroule dans le Bureau central de l’usine Rossum’s Universal Robots, le bureau d’Harry Domin, 38 ans, directeur général. Alors qu’il dicte le courrier à sa secrétaire Sylla, Hélène Glory, 21 ans, fille du président, entre dans son bureau. Elle veut voir la fabrication qui est normalement secrète. Alors Domin raconte. « Ce fut en 1920, que le vieux Rossum, un grand physiologiste, mais à cette époque encore un jeune savant, vint en cette île lointaine pour y étudier la faune maritime. Il essayait d’imiter par la synthèse chimique la substance vivante qu’on appelle le protoplasme et, un beau jour, il découvrit une matière qui avait absolument les qualités de la substance vivante, tout en étant de composition chimique différente. » (p. 7). En fait, le vieux Rossum était fou, il voulait créer des hommes et prendre la place de Dieu. C’est lorsque son jeune neveu, ingénieur, est arrivé que les choses ont évolué. « Ce ne fut que le jeune Rossum, qui eut l’idée d’en faire des machines de travail vivantes et intelligentes. » (p. 9). En créant le Robot, on supprime l’homme qui a besoin de repos et de divertissements, donc qui coûte cher. Mais Hélène est horrifiée lorsqu’elle apprend que Sylla est une Robote ! Elle ne comprend pas que les Robots sont fabriqués comme le sont les automobiles. En fait elle représente la Ligue de l’Humanité qui « compte déjà plus de deux cent mille adhérents » (p. 18) et les membres veulent protéger les Robots. Mais pour 150 $, chaque humain a son robot et même plusieurs !
Les directeurs de l’usine, eux, sont humains : « M. Fabry, ingénieur, directeur technique général de R.U.R., docteur Gall, chef du département des recherches physiologiques, docteur Hallemeier, chef du département de psychologie et d’éducation des Robots, le consul Busman, directeur commercial, et M. Alquist, architecte, chef des constructions de R.U.R. » (p. 19). Tous les autres employés sont des Robots. « Un Robot remplace deux ouvriers et demi. La machine humaine est trop incomplète, mademoiselle. Il fallait la remplacer un jour. » (p. 20). Le mot est lancé, rendement. Mais Hélène fait penser à une ravissante idiote qui n’y connaît rien du tout ! L’objectif de la R.U.R. est de fabriquer tellement de Robots que les humains n’auront plus de travail mais pourront profiter largement de tout car il n’y aura plus de misère non plus. « Le travail sera supprimé. L’homme ne fera que ce qu’il aimera faire. Il sera débarrassé des soucis et de l’humiliation du travail. Il ne vivra que pour se perfectionner. » (p. 24). Est-ce une belle idée ou le début de la fin ?
Le premier acte se déroule dans le salon d’Hélène dix ans après. Il s’en est passé des choses, en dix ans… Les Robots ont été améliorés mais il y a eu des émeutes, des Robots armées, des guerres… Harry Domin, devenu le mari d’Hélène, n’est pas inquiet. « Tout cela était prévu, Hélène. Ce n’était qu’une transition vers le nouvel état des choses, tu comprends. » (p. 37). Pourtant Hélène est terriblement angoissée, elle se doute que son mari ne lui révèle pas tout, et ce n’est pas sa Nounou qui va arranger les choses en lui lisant les guerres et les massacres publiés dans le journal… Tout va mal et le Robot Radius qu’Hélène avait placé à la bibliothèque est devenu fou, il ne veut plus de maître, il ne veut plus recevoir d’ordres, il veut devenir le maître des humains ! En plus, dans l’humanité, il se passe une chose que certains universitaires avaient prédit : les humaines ne font plus d’enfants et personne ne peut expliquer pourquoi à part en disant que des nouveaux-nés ne serviraient à rien puisque les humains ne travaillent plus. Les Robots lancent leur révolution, bref la guerre. « À tous les Robots du monde ! Nous, la première organisation de la race de Rossum’s Universal Robots, nous déclarons l’homme ennemi et proscrit dans l’univers… […] Robots du monde, nous vous ordonnons de massacrer l’humanité. Pas de quartier pour les hommes. Pas de quartier pour les femmes ! Ménagez les usines, les chemins de fer, les machines, les mines et les matières premières. Détruisez le reste. Ensuite, rentrez au travail. Le travail ne doit pas être arrêté. » (p. 60). N’est-il pas trop tard pour l’humanité ? Vous le saurez en lisant les deuxième et troisième actes !
Les bonnes intentions, ah… les bonnes intentions, ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions… Les robots s’en prennent aux humains en littérature comme en image : Metropolis de Fritz Lang (1927), 2001 l’odyssée de l’espace de Stanley Kubrick (1968), Galactica de Glen A. Larson (série, 1978), Blade Runner de Ridley Scott (1982), Terminator de James Cameron (1984), Matrix de Larry et Andy Machowski (1999), I Robot d’Alex Proyas (2004), Battlestar Galactica de Ronald D. Moore (série, 2004), Real Humans de Lars Lundström (série, 2012), entre autres.
C’est la première fois que le mot robot est utilisé. C’est le frère de Karel, Josef, qui l’a inventé à partir du mot tchèque robota qui signifie travail ou corvée et du mot russe rabotat qui signifie travailler. Mais, dans une pièce écrite en 1947, Opilec, l’auteur avait utilisé le terme automaton. Robot est resté dans l’histoire.
La pièce fut jouée le 25 janvier 1921 au Théâtre national à Prague puis en 1922 à New York et ensuite en mars 1924 à la Comédie des Champs-Élysées à Paris. Du théâtre et de la science-fiction (l’histoire se déroule dans le futur), c’est assez rare et c’est pourquoi je voulais lire cette œuvre de Karel Čapek depuis longtemps !
En France, différentes éditions sont parues (mais ce n’est pas facile de les trouver). R.U.R. Rezon’s Universal Robots traduit par Hanuš Jelínek aux éditions Jacques Hébertot en 1924. R.U.R. traduit par Hanuš Jelínek aux éditions Hachette en 1961. R.U.R. Reson’s Universal Robots traduit par Jan Rubeš aux éditions de l’Aube en 1997. R.U.R. Les Robots Universels de Rossum dans l’anthologie Robot Erectus en 2012. R.U.R. Rossum‘s Universal Robots traduit par Jan Rubeš aux éditions de la Différence en 2019.
Cette pièce d’anticipation, parfaitement écrite dans une logique implacable mais dans un style simple, est empreinte de philosophie et d’humanisme. C’est que l’auteur était un réaliste qui savait rester optimiste. Si j’en ai encore l’occasion, je relirai cet auteur talentueux et passionnant.
Lu pour Les classiques c’est fantastique, R.U.R. entre aussi dans les challenges 2021, cette année sera classique, Challenge lecture 2021 (catégorie 25, une pièce de théâtre mais il aurait pu être dans les catégories 30, 39, 42, 48) et Littérature de l’imaginaire #9.
Très bonne pièce…
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Oui, depuis le temps que je voulais la lire, mais pas un coup de cœur 😉
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L’histoire que tu racontes est passionnante et je vais me pencher sur cette pièce ! D’ailleurs théâtre et SF, déjà, ça me rend très curieuse !
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Tu fais bien Alice 🙂 Théâtre et SF, c’est assez rare mais ça existe ! Par exemple Où est passé le théâtre de science-fiction ? (revue) ou Le théâtre de science-fiction d’après Ralph Willingham (pdf) ou Le théâtre de science-fiction (base de données de ReS Futurae).
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Mais tu es une véritable mine d’infos ! 😲🤩
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Ah oui ? Eh bien, tant mieux, mon blog sert à ça, à découvrir et à partager 🙂
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En tout cas tu donnes envie de lire cette pièce
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C’est une pièce peu connue, tu penses bien théâtre et science-fiction ce n’est pas commun 😉
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on en trouve de plus en plus. D’ailleurs, à Paris il y a un théâtre spécialisé sur les sciences.
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Ah oui, carrément ! Mais il est sûrement fermé ?
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Il est fermé en effet au public. Mais il reste ouvert aux compagnies pour répétition. Quoi qu’avec le troisième confinement, je ne sais pas si ce genre de lieu va pouvoir survivre. La culture ne sert à rien après tout.
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Malheur…
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est-ce la fin de la diversité culturelle qui arrive? Je le crains. On va avoir le président qui a tué la culture. peut-être qu’il fera un musée de ce qui existait avant.
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J’espère que non… Heureusement qu’il y a plein de choses en ligne (musées, expos, spectacles…) 😉
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mouaif 😦
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Quand même, ça permet de découvrir plein de choses 😉 Bon, c’est moins convivial mais…
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Moins convivial, moins interactif, moins drôle…. Je m’adapte difficilement on va dire.
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Mais… Et si c’était ce que l’avenir nous réservait ?…
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J’apprendrai à ne plus aimer la culture et me convaincre que cela ne sert vraiment à rien
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Non, c’est impossible !
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avec un peu d’effort 🙂
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Si tu le dis… 😉
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l’avenir nous le dira copine 🙂
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Oui, sûrement 😉 Lis-tu parfois Usbek & Rica ? Ils ont d’excellents articles 🙂
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Non je ne lis pas Usbek et Rica, peut-être vais-je devoir le lire 🙂
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Tu peux t’abonner à leur newsletter et lire en ligne les articles qui t’intéressent 😉 Ou l’emprunter à la bibliothèque 😉
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je vais lire un peu ce qui est publié sur tes conseils 🙂
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Tu verras, il y a des articles comme nulle part ailleurs 😉
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Je commence à lire WE Demain. J’aime bien les articles sur le développement durable
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Je ne connais que de nom, j’avais feuilleté le premier numéro mais je n’avais pas suivi… Il y a eu des périodes où j’achetais des magazines, des revues mais je ne les lisais pas… (c’est que ça prends pas mal de temps). Donc maintenant, c’est soit lecture en ligne des articles qui m’intéressent soit emprunt à la bibliothèque 😉
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Je ne dis pas le nombre de magazine qui sont en attente de lecture chez moi. Je me dis que je vais les lire et je fais de la procrastination. Mais entre les livres et les magazines, le temps file trop vite…
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Le nombre de magazines et revues que j’ai donnés sans les avoir lus… Parfois simplement feuilletés…
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J’ai lu deux revues hier. Il va falloir que je les réintègre dans mes habitudes de lectures même si cela prend du temps. Je vais essayer de plus craquer sur des achats 🙂
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Quels titres, les revues ? Tu sais, il faut bien que la presse vive 😉 Parfois j’achète un numéro 1 pour voir, enfin quand le thème m’intéresse 😉
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Je me suis abonnée au 1, à beaux-arts 🙂 Après pour les magazines, il y a historia, l’œil, science et vie, les nouveautés… je suis addicte.
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Bons choix 🙂 Ce sont des revues / magazines qui sont à la bibliothèque alors je les consulte facilement (enfin, pas en ce moment…) mais il y toujours des articles en ligne 😉 Bonnes lectures 🙂
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J’aime bien découper les articles et après les donner à ceux que cela peut intéresser.
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Ah, mais ça fait du papier qui traîne après… Je préfère soit garder la revue soit donner toute la collection à quelqu’un que ça intéresse 😉 (c’est ce que j’ai fait durant les déménagements)
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Je ne connais personne que cela pourrait intéresser par contre je sais que quelques articles peuvent plaire surtout chez les séniors. Je leur donne une enveloppe avec une carte rigolote et une revue de presse. Cela leur prend du temps à lire et après on en discute.
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C’est bien ça 😉
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Tu peux continuer avec « La guerre des salamandres » ! Ça fait du bien de voir Capek mis ainsi en avant !
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Merci Patrice, dès que je le trouve 😉
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Bravo pour cet article très complet qui donne terriblement envie d’aller y voir de plus près.
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Merci Natiora, j’espère que tu auras l’occasion de lire R.U.R. 🙂
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La guerre des salamandres avait été un coup de cœur, j’ai donc très envie de découvrir ces autres œuvres ! Grâce à toi, ce sera peut-être avec R.U.R. !
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Merci pour ton passage ici et ton commentaire, Ourse bibliophile ; j’ai visité ton blog, compulsé les derniers billets te je l’ai ajouté dans mon Reader WP 🙂 J’espère que tu pourras lire RUR et de mon côté, j’aimerais beaucoup lire La guerre des salamandres 😉
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Oh, merci beaucoup, voilà qui me fait très plaisir ! Je ne suis pas très présente sur les blogs en ce moment, mais je lirai avec plaisir d’autres chroniques venant de chez toi !
Je ne peux que te recommander La guerre des salamandres, donc j’espère que tu aimeras autant que moi et autant que RUR !
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Merci L’Ourse bibliophile, encore faut-il le trouver… Bon weekend 🙂
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Et trouver le temps aussi, en ce qui me concerne ! ^^
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Le temps file…
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Comme Alice, je suis curieuse de voir le mélange SF et théâtre!
Ce titre m’était TOTALEMENT inconnu! Merci (encore) pour la découverte!
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Pas de quoi, depuis le temps que je voulais lire cette pièce 😉 Je cherche maintenant La guerre des salamandres 😉
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Très tentant. Je lirais volontiers ce titre pour compléter ma culture SF. Et le fait qu’il s’agisse d’une pièce de théâtre m’intrigue d’autant plus.
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J’espère que tu liras cette pièce, Moka, théâtre et SF sont intriguant 😉
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Je ne suis pas fan du genre SF et pourtant les thématiques abordées m’intéressent, et résonnent fortement dans notre société…
Merci pour ta participation
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Merci Blandine, je vais lire La guerre des salamandres, tiens peut-être ce weekend (c’est le Mois Europe de l’Est) 🙂
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