L’Observatoire d’Edward Carey.
Éditions Phébus, collection d’aujourd’hui étranger, janvier 2002, 393 pages, 21 €, ISBN 978-2-859-40781-0 [pas de lien, épuisé]. Réédition chez Libretto en avril 2012 [lien].
Observatory Mansions (2000) est traduit de l’anglais par Muriel Goldraich.
Genre : roman.
Edward Carey naît en avril 1970 à North Walsham dans le Norfolk en Angleterre. Il est romancier, illustrateur et metteur en scène pour le théâtre. Du même auteur : Alva & Irva (2003). Découvrez son univers mi absurde mi gothique sur http://edwardcareyauthor.com/.
Une lecture pour le Mois anglais de Cryssilda, Lou et Titine.
Le Manoir de l’Observatoire est une vieille maison de quatre étages que la ville et son urbanisation galopante ont rattrapé. Les sept habitants sont tous des solitaires. « Même si nous ne l’appréciions pas particulièrement, au moins y étions-nous habitués. La solitude était digne de confiance, presque une amie. Nous ne voulions aucun changement. Même si aucun d’entre nous ne souhaitait être le dernier occupant de l’immeuble, nous voulions aussi voir perdurer la monotonie de nos jours. Nous ne voulions pas de bruits. Nous ne voulions pas de mouvements brusques. » (p. 19). Mais un jour, ils découvrent avec effroi le message que le portier a affiché : dans une semaine, il y aura un nouveau résident au n° 18. En plus, le nouveau locataire est… « Une femme, ça c’était un choc. » (p. 34).
Le plus jeune résident est Francis Orme : il a 37 ans, il vit avec ses parents dont il s’occupe et il travaille comme homme-statue. C’est lui le narrateur, ma foi dans un style un peu vieillot et avec un côté absurde qui ne m’ont pas dérangée mais… J’avais très envie de lire ce premier roman d’Edward Carey pourtant je me suis ennuyée dès le début… Je me suis un peu accrochée, histoire de lui laisser une chance mais rien n’y a fait et j’ai préféré l’abandonner pour passer à une autre lecture. Je sais que je n’y reviendrai pas et que je suis peut-être passée à côté d’un chef-d’œuvre mais tant pis… Par contre, je jetterai quand même un coup d’œil à Le château, premier tome de la trilogie illustrée Les ferrailleurs paru en mars 2015 aux éditions Grasset [lien].
Cela arrive, il est dans ma pal celui-là, j’espère qu’il saura me plaire 🙂
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J’espère qu’il te plaira plus qu’à moi 🙂
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Bof, pas très tentée, il m’a l’air bien noir.
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Ben, non, justement, trop plan-plan…
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Ah là là, j’avais adoré 🙂 J’avais trouvé l’ambiance bizarre à souhait et les personnages très curieux m’avait beaucoup intéressée. Mais bon, c’est normal de réagir de façons différentes à un même roman.
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L’ambiance est bizarre et les personnages sont intéressants, c’est sûr, mais ça n’a pas suffit à m’intéresser vraiment…
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Je suis en train de lire Le Château du même auteur car j’étais très attirée par la couverture et les illustrations. Son univers est très particulier et je peine à le finir… Donc je ne vais pas tenter celui-ci 😉
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Le château me fait quand même envie mais pour plus tard…
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