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Lundi Soleil 2024 #février (4)

Nous sommes toujours dans le deuxième thème de Lundi Soleil 2024, celui de février qui est le bleu. Je suis vraiment désolée que les cigognes soient si minuscules sur ce ciel bleu… Je vous souhaite une bonne semaine et vous donne rendez-vous lundi prochain avec le thème de février, le jaune.

Le perroquet qui bégayait d’Alfred Hitchcock

Le perroquet qui bégayait d’Alfred Hitchcock.

Première édition en France chez Hachette, 1967, dans les collections Idéal Bibliothèque, Bibliothèque verte et Livre de poche, traduction en français par Vladimir Volkoff. C’est cette traduction que j’ai lue, 208 pages, ISBN 978-2-298-11832-2.

Genres : littérature états-unienne, roman jeunesse, roman policier.

Alors, attention, ce roman paru en 1964 aux États-Unis sous le titre The Mystery of the Stuttering Parrot (2e tome de la série policière pour adolescents Alfred Hitchcock and the Three Investigators puis The Three Investigators c’est-à-dire Les Trois Jeunes Détectives) a été (et est toujours) édité sous le nom d’Alfred Hitchcock mais le véritable auteur est Robert Arthur Junior (rendons à César ce qui appartient à César !), même si l’histoire est en fait raconté par les deux hommes.

Robert Arthur Junior naît le 10 novembre 1909 à Corregidor aux Philippines. Il meurt le 2 mai 1969 à Philadelphie en Pennsylvanie. Il est connu pour sa série Alfred Hitchcock et les trois jeunes détectives (11 tomes entre 1964 et 1969 aux États-Unis et entre 1966 et 1985 en France), pour les Short story collections by Robert Arthur Jr. (3 tomes entre 1963 et 1966) et les Short story collections edited by Robert Arthur Jr. ou Alfred Hitchcock Presents… (16 tomes entre 1961 et 1969).

« Les garçons qui se font appeler ‘Les Trois Jeunes Détectives’ se nomment Bob Andy, Peter Crentch et Hannibal Jones. Ils habitent la petite ville de Rocky, sur les bords de l’océan Pacifique, à quelques kilomètres de Hollywood. Bob est un petit blond ; il a des goûts studieux, ce qui ne l’empêche pas d’aimer aussi l’aventure. Peter, grand garçon sportif, aux cheveux châtains, est sujet à certains accès de nervosité lorsqu’il doit faire face à un danger pressant ; mais ses muscles sont à toute épreuve. Hannibal Jones… Il y a tant à dire sur Hannibal Jones que, de crainte d’exprimer des opinions qui ne seraient pas celles de ses amis, je préfère m’en tenir à l’essentiel. Hannibal Jones est plutôt gros que maigre et il prête quelquefois à son visage l’apparence de la plus parfaite stupidité. Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette apparence est trompeuse. […] (Babal pour les intimes) […] » (début de l’avant-propos d’Alfred Hitchcock, p. 7-8).

Les Trois Jeunes Détectives, Bob, Peter et Hannibal donc, doivent retrouver le perroquet de Malcolm Fentriss, un « illustre acteur spécialisé dans les pièces de Shakespeare » (p. 12), retraité et ami d’Alfred Hitchcock. Mais le perroquet, William Shakespeare, est revenu tout seul grâce à une fenêtre ouverte. Bon, alors il n’y a plus d’enquête et les garçons repartent mais Hannibal remarque quelque chose de pas normal.

« Ce qui m’étonne, c’est que des individus de ce genre s’intéressent à un perroquet perdu. Je ne doute pas que, avec le temps, nous trouvions le mot de cette énigme, mais, pour le moment, j’avoue que je suis au comble de la perplexité. » (p. 40). C’est vrai que des personnes des plus mystérieuses s’intéressent à Shakespeare…

Et la voisine, Irma Waggoner s’est aussi fait voler son perroquet, Patapon. Les garçons se rendent comptent que c’est sept oiseaux qu’ils doivent retrouver, six perroquets et un mainate qui ont chacun appris une phrase de John Silver. « Je ne peux imaginer aucun moyen de retrouver les perroquets ou de deviner les trois phrases qui nous manquent. Notre enquête se solde par une déconfiture complète. » (p. 151).

J’en ai lu des livres de la Bibliothèque verte (et autres collections jeunesse) mais je ne connaissais pas ces Trois Jeunes détectives ! Ou alors, j’ai lu une autre enquête d’eux et je l’ai oubliée, c’est possible 40 à 45 ans après… Le perroquet qui bégayait est une enquête pour la jeunesse avec des hommages aux aventuriers, pirates et au détective Sherlock Holmes. Une histoire simple mais pas simpliste ; les personnages ont chacun leurs faiblesses et leurs qualités comme le laisse entendre Alfred Hitchcock dans l’avant-propos (en début de billet). Leur QG (quartier général) situé dans une brocante est génial et leur réflexion est intéressante pour les jeunes qui lisent, réfléchissent et passent un bon moment. Il y a aussi une pointe d’humour, l’amitié qui lie les trois garçons et leur générosité (par exemple avec Carlos et son oncle Ramos qui, bien que pauvres, avaient hébergé et soigné John Silver). Un roman policier idéal pour les jeunes ados que les adultes peuvent (re)lire avec plaisir.

Pour 2023 sera classique (roman paru avant 1970 aussi bien aux États-Unis qu’en France), Bingo littéraire d’Hylyirio (case n° 14, le nom d’un animal dans le titre), Challenge lecture 2023 (catégorie 23, un livre écrit à quatre mains, A.H. et R.A.Jr), Jeunesse & young adult #12, Petit Bac 2023 (catégorie Animal pour Perroquet) et Polar et thriller 2023-2024.

Verte et les oiseaux de Pınar Selek

Verte et les oiseaux de Pınar Selek.

Éditions des Lisières, mars 2017, 64 pages, 15 €, ISBN 979-10-96274-03-1. Yezil kiz (2011) est traduit du turc par Lucie Lavoisier ; illustré par Elvire Reboulet et linogravé par Maud Leroy.

Genres : littérature turque, roman-conte.

Pınar Selek naît le 8 octobre 1971 à Istanbul en Turquie. Elle étudie au lycée Notre-Dame de Sion à Istanbul puis à l’université de Strasbourg. Elle est sociologue, autrice (romans, contes, essais) et militante féministe et antimilitariste. Elle s’intéresse aux groupes opprimés (femmes, enfants des rues, Kurdes, Arméniens…). J’ai déjà lu Algue et la sorcière aux éditions des Lisières et d’autres livres de cette autrice sont publiés chez d’autres éditeurs. Plus d’infos sur son site officiel.

Verte et sa grand-mère connaissent le langage des oiseaux. « Gardez bien ceci en tête : même si certains n’y croient pas, les histoires du ciel sont des histoires vraies. » (p. 7). Tous les oiseaux, même ceux qui ne volent pas, sont inquiets.

C’est Corbeau Boiteux qui raconte cette histoire. Tout commence lorsqu’une vieille femme sauve un pigeon blessé par la fronde d’un enfant. Elle soigne la blessure et le pigeon se rétablit chez elle durant quelques jours. Lorsqu’il va mieux, il revient tous les jours dire bonjour à sa sauveuse.

Mais un jour le pigeon ne revient pas et la vieille, inquiète, se met à piailler. « Oui, elle piaillait vraiment… Comme un oiseau. Nous avons écouté avec attention […]. Nous n’en croyions pas nos oreilles. […] Nous sommes tous restés le bec grand ouvert. La femme piaulait. Elle parlait notre langue. » (p. 13). Eh oui, les oiseaux, bien qu’ils aient des chants différents, parlent tous la même langue.

Heureusement, la vieille femme est « différente des autres humains » (p. 16), elle écoute vraiment les oiseaux et ne leur veut pas de mal, au contraire elle donne, elle aime. D’ailleurs elle devient leur protectrice, leur nourrice, leur amie, surtout pendant les jours d’hiver. Alors les oiseaux l’appellent Mamie Terre et sa petite-fille qui a les yeux verts, ils l’appellnt Verte.

Un jour, une mouette des Mers du Sud, Vague, « l’un des oiseaux les plus sages » (p. 19) vient rendre visite à ces deux humaines incroyables au nom de tous les oiseaux. Elle leur explique que les humains sont dangereux pour les oiseaux et qu’elles ne doivent jamais enseigner leur langue à d’autres humains. Mamie Terre promet mais, un jour, elle appelle les oiseaux à l’aide pour Verte.

Une très jolie histoire, sous forme de conte, destiné aux petits et aux grands, pour découvrir les oiseaux et comprendre qu’il faut les protéger, le tout agréablement illustré. Et puis le message important sur la façon dont est traitée Verte par son père et les autres, des choses qui ne devraient pas se produire…

Pour Challenge lecture 2023 (catégorie 8, un roman dont l’histoire se passe sur une île), Contes et légendes, Jeunesse & young adult #12, Littérature de l’imaginaire #11, Petit Bac 2023 (catégorie Couleur pour Verte) et Voisins Voisines (Turquie).

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Lundi Soleil 2023 #juillet (3)

Nous sommes toujours dans le septième thème de Lundi Soleil 2023, celui de juillet qui est le bleu. Comme la semaine dernière, voici du ciel bleu mais avec les nombreuses cigognes qui arrivent au printemps (et même un peu avant parfois). Je vous souhaite une bonne semaine et je vous dis à lundi prochain.

Des oiseaux de Paolo Pellegrin

Des oiseaux de Paolo Pellegrin.

Atelier EXB, collection Des oiseaux, octobre 2021, 104 pages, 35 €, ISBN 978-2-36511-312-0.

Genres : beau livre, photographies.

Paolo Pellegrin naît le 11 mars à Rome en Italie. Il étudie à l’Institut de photographie de Rome. Il est photojournaliste à l’internationale. Ses œuvres sont présentées dans plusieurs expositions et publications et il reçoit plusieurs prix. Plus d’infos sur Magnum Photos.

Ce très beau livre est le 11e tome de la collection Des oiseaux. Il contient 44 photographies en noir et blanc. Le texte (en fin de volume) est de Guilhem Lesaffre. Il existe en version française et en version anglaise, et aussi en version illimitée sous coffret [ici].

Je l’ai consulté trois fois pour bien m’imprégner des photographies. J’aime les rapaces et j’ai visité une partie de cette forêt mais je n’ai pas vu ces milans noirs (tobi en japonais)… Peut-être que je n’ai pas assez levé la tête ou que ce n’était pas la bonne saison pour les voir…

À Kyoto, le Shimogamo (temple Shimo) est situé au nord du delta de la rivière Kamo (Kamo-gawa en japonais, ce qui signifie rivière aux canards) et il se dresse au cœur de la Tadasu no Mori (ce qui signifie forêt de la vérité). Ce sanctuaire shintô a été construit au VIIe siècle dans une forêt primaire peuplée de milans noirs.

« Planant haut dans le ciel, tombant soudainement à pic, virevoltant avec puissance toutes ailes déployées avant de surgir parmi les frondaisons, les milans exécutent avec maestria un joyeux ballet choral. L’objectif tourné vers la pureté abstraite de l’azur, Paolo Pellegrin a saisi leur fulgurante vitesse dans des cadrages serrés : les oiseaux semblent jaillir du cadre ou en sortir à toute allure. Rémiges effilées, serres en position aérodynamique pour mieux filer dans l’espace, silhouettes souples et fuselées : les chorégraphies se succèdent, en soliste, en duo ou en groupe. Les milans noirs glissent dans les airs, opèrent des loopings, dessinent des figures acrobatiques. Ils se détachent sur des ciels aux noirs et blancs saturés, nous fixent, nous défient, nous surprennent. Leur majesté force l’admiration. Leurs rémiges se font doigts, leurs ailes deviennent capes. Défiant les lois de la pesanteur, immergés dans les profondeurs des sous-bois, les oiseaux de Pellegrin nous invitent à pénétrer dans un monde mystérieux et fantomatique, où seule règne la présence animale. »

Pour ABC illimité (lettre D pour titre), Bingo littéraire d’Hylyirio (case n° 14, le nom d’un animal dans le titre, 2e billet), Challenge lecture 2023 (catégorie 57, un livre documentaire) et Petit Bac 2023 (catégorie Animal pour Oiseaux).

Le Boiseleur, 1 – Les mains d’Illian de Hubert et Hersent

Le Boiseleur, 1 – Les mains d’Illian de Hubert et Hersent.

Soleil, collection Métamorphose, octobre 2019, 96 pages, 19,99 €, ISBN 978-2-30207-778-2.

Genres : bande dessinée française, conte.

Hubert, de son vrai nom Hubert Boulard, naît le 21 janvier 1971 à Saint Renan en Bretagne. Il étudie à l’École régionale des Beaux-Arts d’Angers puis se dirige vers la bande dessinée en tant que coloriste mais aussi en tant que scénariste. Parmi ses titres : Beauté, La chair de l’araignée, Le legs de l’alchimiste, Miss Pas Touche, Les Ogres-Dieux, Peau d’homme, Les yeux verts… Malheureusement, dépressif depuis l’enfance à cause de son homosexualité non acceptée par sa famille, il met fin à ses jours le 12 février 2020.

Gaëlle Hersent naît le 25 juillet 1984 en France. Elle étudie la littérature et les arts plastiques. Ensuite elle entre à l’École européenne supérieure de l’image d’Angoulême puis à l’École des métiers du cinéma d’animation. Elle est illustratrice, dessinatrice et coloriste de bandes dessinées. Plus d’infos sur son site officiel et sur son Instagram.

J’ai vu ce premier tome de Le Boiseleur – Les mains d’Illian sur un blog pour La BD de la semaine et je l’ai réservé à la bibliothèque mais je regrette de ne pas avoir réservé aussi le tome 2, Le Boiseleur – L’esprit d’atelier, qui est paru posthume en août 2022.

« Solidor était bâtie à l’extrémité d’une vaste presqu’île, séparée du reste du monde par de hautes montagnes pratiquement impraticables, si bien qu’on n’y venait qu’en bateau. C’est sans doute de cet isolement que la fa une et la flore qu’on trouvait dans la campagne environnante tenaient leurs particularités. Nombre de plantes y poussaient qu’on ne voyait nulle part ailleurs, comme le chêne tubéreux ou l’orchidée arborifère, et les oiseaux qu’on y trouvait appartenaient tous à la famille des griselottes, espèce endémique au plumage terne, et de plus pratiquement aphone. » (p. 8). C’est pourquoi les habitants achètent des oiseaux exotiques au marché de Solidor.

Illian, « enfant, […] débarqué de sa campagne natale » (p. 13) sculpte le bois et fabrique des cages dans l’atelier de maître Koppel. Passionné par les oiseaux, il aimerait bien en avoir un à lui mais il n’a pas les moyens… parce que Maître Koppel, très pingre, ne lui donne que le gîte et le couvert durant son apprentissage. Illian se contente alors d’entendre les oiseaux des autres, « Les écouter avait toujours été le bonheur et le réconfort d’Illian. » (p. 16).

Il a alors une idée, il va fabriquer un rossignol dans une chute de bois, le peindre et le garder dans sa chambre près de lui mais Maître Koppel crie au vol (bois et peintures) et offre l’oiseau à sa fille, Flora, qui le montre à toutes ses amies qui en veulent un aussi. La vie d’Illian et de la ville de Solidor va alors changer du tout au tout.

Oh, comme je regrette de ne pas avoir le tome 2… Cette bande dessinée est magnifique, elle est aussi précieuse que les oiseaux et leurs chants mélodieux, avec des couleurs chatoyantes. Et, en dehors des cases, il y a des dessins pleine page ou double page de toute beauté. Elle ressemble à un conte philosophique et poétique où l’imaginaire et l’artisanat seraient rois. Bien sûr, on s’attache particulièrement à Illian et aussi au vieil homme qui perd son oiseau, « Hélas, il est mort de sa belle mort. Un oiseau en cage, ça ne vit pas très vieux. » (p. 76). Mais l’auteur et la dessinatrice ne font pas qu’une belle œuvre, ils en profitent pour dénoncer la maltraitance des petites gens comme Illian et celle des oiseaux enfermés puis relâchés dans un environnement qui n’est pas le leur. Ils dénoncent aussi les effets de mode et la façon dont les riches achètent de façon compulsive pour posséder et avoir plus ou mieux que leurs amis et voisins.

Ils l’ont lu : Bulles de Dupondt, Bulles et chapitres, Cédric de La bande du 9, Chez BooKinette, Géraldine, Ghislaine, L’île aux trésors, Lady That, Lili Galipette, Lire en bulles, Lise de Bubble BD, Little Pretty Books, Mo’ du Bar à BD, Stemilou, d’autres ?

Pour La BD de la semaine (plus de BD de la semaine chez Stéphie) et le challenge BD 2022 ainsi que Petit Bac 2022 (catégorie Art pour Boiseleur = qui sculpte le bois) et Les textes courts.

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Lundi Soleil 2022 #septembre (2)

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Nous sommes toujours dans le neuvième thème de Lundi Soleil 2022, celui de septembre qui est une saison, l’automne. Je vous emmène de nouveau au Japon, cette fois à Kyôto avec sa célèbre Kamogawa 鴨川 (kamo = canards et gawa = rivière). Cependant ce ne sont pas des canards que vous voyez sur une des photos mais sûrement des mouettes ou peut-être des aegithalos caudatus japonicus, c’est-à dire des mésanges blanches à longue queue (s’il y a un ornithologue dans le coin, merci de confirmer !). En tout cas, j’espère que ces photos vous plaisent. Je vous souhaite une bonne semaine et vous donne rendez-vous lundi prochain.

Défi du 20 mai 2022

Après une première année de l’atelier d’écriture Le défi du 20 en 2021, je continue avec les nouvelles consignes et le nouveau joli logo coloré (créé par Soène) chez Passiflore, où vous pouvez consulter toutes les infos.

En janvier c’était 1 peintre, en février c’était 2 poètes, en mars c’était 3 chanteurs, en avril c’était 4 titres de livres et en mai c’est 5 oiseaux.

J’aime beaucoup les oiseaux mais ce n’est pas évident de les prendre en photo (même si j’en ai dans mon stock) alors j’ai pensé à une autre idée, des oiseaux littéraires (qui m’ont plu évidemment) !

Voici déjà 3 oiseaux dont j’ai publié les notes de lectures, que je vous invite à (re)lire.

Les oiseaux de Troubs (une bande dessinée française parue en 2021).

Le cri de l’oiseau de pluie de Nadeem Aslam (un roman anglo-pakistanais paru en 2015).

Petits oiseaux de Yôko Ogawa (roman japonais paru en 2014).

Le 4e oiseau est Les oiseaux du temps d’Amal El-Mohtar et Max Gladstone (un roman canadien et états-unien paru en 2021) dont je publierai la note de lecture dès que j’aurai retrouvé mon brouillon).

Et le 5e oiseau est Phénix, l’oiseau de feu d’Osamu Tezuka (série de 11 manga seinen, pour adultes, parus entre 1968 et 1988) qu’il faudra que je relise pour en parler.

Vous trouverez les billets des autres participant(e)s chez Passiflore et je vous donne rendez-vous le 20 juin avec le thème 6 arbres (ci-dessous, le tableau des thèmes pour l’année).