En coup de vent… /7

Un gros coup de vent puisque j’ai trois choses à vous dire !

Jeudi dernier, j’ai été à une rencontre dédicaces à la librairie L’oiseau siffleur [lien]. Philippe et Sophie avaient invité un auteur inconnu de moi : Marc Salbert pour son roman De l’influence du lancer de minibar sur l’engagement humanitaire paru au Dilettante [lien] en janvier 2015. Quel titre bizarre, n’est-ce pas ? Le monsieur était vraiment drôle et j’ai très envie de lire son roman qu’il m’a gentiment dédicacé. C’était une charmante soirée – rencontre, merci à Sophie, Philippe et Marc. Je vous parle de ce roman dès que je l’aurai lu !

Hier soir, j’ai trouvé en rentrant du travail un paquet avec Tiré à quatre épingles, le nouveau livre de Pascal Marmet [lien] qui vient de paraître fin mai chez Michalon [lien]. C’est un thriller alors j’ai hâte de le lire et de partager ma note de lecture avec vous. En plus, ça m’a fait super plaisir parce qu’il pleuvait à verse, la journée était trop triste, et hop ! un petit cadeau pour me remonter le moral ! Donc merci Pascal.

Ce soir, toujours en rentrant du travail, je trouve une lettre, la réponse de Virginia Woolf à son ami Lytton Strachey [voir la première lettre ici] et je remercie encore Métaphore [lien] car c’est vraiment agréable de recevoir du courrier. J’ai totalement perdu l’habitude d’écrire des lettres, d’en envoyer, d’en recevoir et finalement, ça me manque. Tout comme la première lettre, je mets celle-ci dans le Mois anglais.